Vivre et travailler dans l'industrie du transport en Belgique, 1913-2013

Les couvertures des couverts des tatouages, les dockers solides, les armoires à la finition brillante : le cliché du vouloirit de l'industrie des transports, tant l'affaire des coûts est insatisfaite. Vous pouvez profiter du reste de votre vie avec une suite de moments forts, des moments de harcèlement, de nombreux dangers et les bénéficiaires les plus rares. De plus, lors du voyage de la première année, le choix a été fait d'évoluer rapidement et aussi vite dans le monde du transport : les bateaux, les ports, les routes, les véhicules, etc. Les transporteurs étaient soumis aux contraintes de l'adaptateur. Les photos les plus anciennes sont particulièrement marquantes : de pauvres hères tyrant un bateau depuis le chemin de halage, une femme de batelier au gouvernail avec son enfant à ses côtés au bout d'une corde, des dockers employés sous des sacs de céréales de septante kilos ou davantage. Le contraste entre les clichés de la maison est énorme.
C'est la relation entre le visage des yeux des gens, des âges, des regards et des yeux du monde au cours de laquelle le transport s'est radicalement transformé entre 1913 et 2013.

Version néerlandaise : Vivre et travailler dans l'industrie des transports belge, 1913-2013

Donald Weber
UBOT/Amsab-IHS/Tijdsbeeld & Pièce Montée, Anvers/Gand, 2013, 239 p., ill., couverture souple